(Download) "Satan est un homme comme les autres" by Céline Mancellon # Book PDF Kindle ePub Free

eBook details
- Title: Satan est un homme comme les autres
- Author : Céline Mancellon
- Release Date : January 22, 2018
- Genre: Contemporary,Books,Romance,
- Pages : * pages
- Size : 549 KB
Description
« Et Satan crĂ©a l’enfer. Enfin, surtout pour les autres. »
Infernal. DĂ©moniaque. Salaud. Des adjectifs qui collent Ă la peau d’Adrian Sheffield, pianiste virtuose et terreur du monde de la musique classique. Il fallait s’y attendre : Ă force de semer la haine, Adrian reçoit un jour une menace de mort. Son agent – la seule personne sur Terre Ă encore le supporter – dĂ©cide de lui attribuer un garde du corps. Ou plutĂŽt une garde du corps : Carrie North.
Mais il ignore que Carrie a dĂ©jĂ rencontrĂ© Adrian, et qu’il ne lui a pas fait bonne impression. Du tout. Les voilĂ de nouveau rĂ©unis. Adrian, toujours aussi sĂ©duisant et imbuvable, et Carrie, toujours aussi tĂȘtue. Sauront-ils surmonter leurs rancĆurs et cĂ©deront-ils enfin Ă leur attirance mutuelle ? Mais surtout, qui veut la peau d’Adrian Sheffield ?
Par l'auteure de Bad Romance, la série New Adult phénomÚne.
Extrait :
— Comment est-ce possible ? Comment peut-on ĂȘtre un gĂ©nie de ta trempe et ĂȘtre aussi... aussi... ! Je ne trouve pas mes mots. L’intĂ©gralitĂ© du dictionnaire n’en contient pas assez pour te dĂ©finir avec exactitude.
Adrian Sheffield l’Ă©tudia un instant avant de sortir de son mutisme :
— Tu as terminĂ© ?
Gislain baissa la tĂȘte, misĂ©rablement vaincu.
— Oui, confirma-t-il d’un timbre rĂ©signĂ©.
Adrian opina pour ensuite agiter les mains dans les airs.
— Mes lingettes, s’il te plaĂźt.
— Tes... quoi ?
Le pianiste le considĂ©ra comme s’il Ă©tait devenu lent d’esprit, ce qui accentua l’agacement qu’Ă©prouvait dĂ©jĂ Gislain.
— Mes. Lingettes. AntibactĂ©riennes.
— Pourquoi ? se renseigna-t-il en cherchant tout de mĂȘme ledit paquet de lingettes.
Adrian afficha une mine sombre et grave :
— Je l’ai touchĂ©, Gislain. Je suis contaminĂ©.
Son ami lui lança un regard perplexe.
— Qu’as-tu touchĂ© ?
Adrian lui renvoya une expression interloquée.
— Ken, pardi ! J’ai peut-ĂȘtre juste effleurĂ© sa veste, mais dans le doute, je prĂ©fĂšre ne pas prendre de risques. Imagine que son incompĂ©tence attaque ma virtuositĂ© façon pandĂ©mie ? Quelle scĂšne horrifique ! J’en ai des frissons ! (Adrian lui montra son avant-bras.) Regarde ! Je ne plaisante pas, j’ai la chair de poule... MisĂšre. Je suis sĂ»r que la grippe aviaire fait moins de dĂ©gĂąts que la veste en polyester de Ken Stull.